Les défis urbains au Togo et la richesse de l’informel

Melf Mandoukou Yembi, étudiant en master 2 Urbanisme à l’Ecole Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme (EAMAU) de Lomé.
Grenoble, le contraste Paysage-Ville

“Le contraste Paysage-Ville sont pour moi, le lien parfait entre l’urbanisme et la francophonie”. Luis Garcia Rios, étudiant du Master 2 AUDT (Aménagement, urbanisme et développement des territoires) à l’Université de Strasbourg.
La gestion des déchets en milieu urbain

“Au fur et à mesure que la ville de Yaoundé s’urbanise, la protection et la gestion des déchets s’imposent avec acuité pour maintenir les cadres et conditions de vie des résidents salubres et sains”. Alexandra Meyong et Nko’o Lionel
Le quartier la Part-Dieu à Lyon

“Depuis 2010, la Part-Dieu est le centre d’un grand projet urbain. C’est donc un espace urbain multiforme, insaisissable et complètement chimérique, témoin d’un entre-deux, du basculement d’une époque vers une autre. Au centre : les habitants. Les usages sont encore intuitifs”. Neil Schiaretti, étudiant en urbanisme et en sciences politiques dans le double master “Urbanisme & Aménagement” et “Affaires publiques”, proposé par l’Institut d’Urbanisme de Lyon et Science Po Lyon.
Villes d’héritages multiples

Au travers de sa carte postale, Joël Zouna, étudiant en Master 2 Urbanisme à l’École Africaine des Métiers de l’Urbanisme et de l’Architecture à Lomé au Togo, pose les problématiques de décroissance urbaine, de formes et pratiques urbaines, de multiculturalisme et de gestion des déchets.
Les espaces publics et les usagers

“Une carte postale, cinq photos, trois grandes villes. Paris, Bordeaux, Lyon, des métropoles françaises. Des lieux où des dizaines de scènes se jouent sous nos yeux, des espaces urbains très variés faits de contrastes et de diversités”. Mathilde Olivier, étudiante en Master d’urbanisme à l’Université Bordeaux Montaigne.
L’architecture traditionnelle au Mali

Selon Monsieur Ousmane SOW, architecte-urbaniste et Directeur de l’Agence d’Urbanisme du Grand Bamako, pour transformer le domaine bâti à Bamako, en préférant l’usage des savoirs vernaculaires plutôt que l’usage du béton, l’idée serait de revenir aux circuits courts, à l’économie circulaire et aux matériaux traditionnels et de reconnaître notamment l’architecture traditionnelle et le bâti ancien.
Villes et fonctionnalités

Quelles-sont les fonctions urbaines et les raisons de leur existence ? Le besoin des êtres humains de vivre en communauté. D’où les constituants de la ville : Habitat (loger les gens), Production (loger les entreprises), Consommation (organiser les échanges), Administration (organiser la vie en commun). Aujourd’hui, encouragé par la primauté accordée à l’économie sur toute autre forme d’interaction sociale, le mode d’organisation et de production de la ville semble s’appuyer sur les forces de marché, comme l’illustre cette carte postale.
Un cours de conjugaison à Diourbel

Ce serait une carte postale de Diourbel, alors il y a un double nom, Diourbel ou Ndiarem, c’est à 150 km à peu près de Dakar et les filles elles sont avec moi, on fait de la conjugaison et souvent il y a des chevaux qui s’assoient aussi avec nous…
Mixité sociale, bien-être et vivre-ensemble

“A mes yeux, l’urbanisme permet la production d’une pluralité de modalités d’existence pour un ensemble (la société), tout en prenant en compte chacune de ses parties (les citoyens). C’est une condition sine qua non du bien-être et du vivre-ensemble”. Ivan Debernardi, étudiante en Master d’urbanisme à l’Université Bordeaux Montaigne