Célébrons la Journée mondiale des villes

Lancée en 2014 par les Nations Unies, la Journée mondiale des villes, célébrée chaque année le 31 octobre, met en lumière les défis et opportunités de l’urbanisation croissante. Alors que plus de la moitié de la population mondiale, soit 4,2 milliards d’individus, vit désormais dans les villes, cet événement revêt une importance cruciale.

Une autre philosophie de la nature et de la ville ?

À l’heure où l’agencement urbain et spatial devient un enjeu écologique et économique majeur dans le monde, quelles solutions venant d’Afrique permettent de repenser le rapport entretenu à la nature et à la ville ? Comment penser le développement urbain autrement que par une politique du béton ? Dans le quatrième et dernier épisode de la série “Caraïbe, Afrique, Amérique latine : philosopher au Sud”, Géraldine Muhlmann et ses invité.e.s se demandent comment l’Afrique nous invite à repenser le rapport entretenu à la nature et à la ville ?

Différentes vues de Cotonou de 1930 à 1939

Qu’est-ce qu’une ville ? Si l’on se réfère à l’idée qu’il s’agit de lieux d’une certaine densité, Cotonou, de 1930 à 1939, n’en présente pas encore toutes les caractéristiques : faible densité, arbres hauts, larges avenues, bâtiments à un ou deux étages… Et pourtant, tout va se construire pas à pas pour conduire à la ville dense que nous connaissons aujourd’hui. 

Différentes vues de Cotonou de 1930 à 1939

Qu’est-ce qu’une ville ? Si l’on se réfère à l’idée qu’il s’agit de lieux d’une certaine densité, Cotonou, de 1930 à 1939, n’en présente pas encore toutes les caractéristiques : faible densité, arbres hauts, larges avenues, bâtiments à un ou deux étages… Et pourtant, tout va se construire pas à pas pour conduire à la ville dense que nous connaissons aujourd’hui.