Ariella Masboungi : architecte-urbaniste

Selon Ariella Masboungi, plus qu’une histoire de langue, les villes francophones ont des caractéristiques communes relatives au tissu urbain, aux tracés, au parcellaire, à l’architecture et à des valeurs partagées : vivre-ensemble, solidarité, inclusion, mémoire, diversité… Elle est convaincue que par la mise en commun des connaissances, des difficultés et des inventions à l’international, les Maires pourront mieux lutter contre l’étalement urbain.

La ville de Beyrouth

Découvrez la carte postale d’ Ariella Masboungi, architecte-urbaniste française, chargée du « Projet urbain » pour le Ministère en charge de l’urbanisme. Elle dirige « Le Grand prix de l’urbanisme », « Les Ateliers Projet urbain » et les « 5 à 7 » du Club Ville-Aménagement. »

La ville multimodale africaine

Cette photo lauréate du Concours Photos « Urbanisme en Francophonie » prise à Ouagadougou par Allarané Ndonaye Ghislain, urbaniste D.E.I.A.U formé à l’École Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme de Lomé au Togo, réussit à démontrer la diversité des moyens de transport que l’on trouve dans les villes de l’hémisphère sud et dispose d’un regard critique sur la ville multimodale africaine dominée par les voitures et les 2 roues.

Rencontre à Marrakech : Quel modèle de ville durable à adopter au Maroc?

Cette rencontre a été ainsi l’occasion d’engager une réflexion approfondie autour des grands enjeux du développement durable dans les villes, en abordant les axes liés à la mobilité durable, l’efficacité énergétique, la gestion des ressources naturelles et l’aménagement du territoire.

Kouka Ntadi : artiste-peintre franco-congolais

Kouka Ntadi évoque dans ce grand entretien Urbanisme en Francophonie : son rapport à la langue française, la portée universelle de l’expression artistique, les spécificités des villes francophones notamment en matière de patrimoine artistique, les avantages mais aussi les freins auxquels est confronté l’art urbain…

Le guerrier bantu sur l’île de Gorée

« C’est cette carte postale que je voudrais envoyer parce que cette œuvre fait appel au voyage, à l’histoire, mais elle fait aussi appel aux échanges culturels. Donc, j’ai ce souvenir, quand je vois ce guerrier bantu sur cette fenêtre posée sur l’Île de Gorée, de ces enfants qui racontent l’histoire de leur île et date par date l’histoire de l’esclavage ». Kouka Ntadi, artiste franco-congolais.