« Les territoires oubliés, un futur désirable », par Ariella Masboungi et Guillaume HEBERT
« Les territoires oubliés, un futur désirable », co-écrit par Ariella MASBOUNGI et Guillaume HEBERT (aux éditions Le Moniteur) propose 8 défis pour régénérer « les territoires oubliés », partant de leur immense potentiel et des expériences in vivo qui s’y inventent au quotidien.
La ville du quart d’heure : l’arc-en-ciel de la proximité heureuse
Carlos Moreno (Directeur scientifique de la Chaire ”Entrepreneuriat Territoire Innovation”, à l’IAE Paris-Sorbonne Business School et Professeur à l’IAA, International Academy of Architecture) nous explique que : “Le concept de la « ville du quart d’heure » est né d’un travail de recherche cherchant à comprendre le rapport entre le temps et la ville urbaine et territoriale, à travers la convergence de trois courants : le chrono-urbanisme, rapport du temps par rapport à la vie dans la ville, la chronotopie, la manière d’utiliser un lieu de manière polyvalente en fonction du moment et la topophilie, le récit autour du lieu dans lequel on vit”.
La Toscane
Il y a des tas d’images dans l’espace francophone évidemment qui disent la même chose que je vais dire, mais ma référence c’est la Toscane. C’est la Toscane pour une raison simple, c’est qu’au 15e siècle, la Toscane était désignée comme « Cita continuata » (Cité continue)
Biennale de Venise : Lesley Lokko invite l’architecture du futur
La commissaire de la 18ᵉ Biennale d’architecture de Venise, qui doit ouvrir le 20 mai 2023, a choisi de mettre l’Afrique en vedette de cette édition conçue pour faire chanceler les idées reçues.
Patrick Boucheron, historien français
Pour Patrick Boucheron, la francophonie est une histoire plus grande que celle de la France métropolitaine. Il reconnaît dans les espaces francophones une urbanité spécifique. Il distingue d’ailleurs deux manières de penser la ville en matière de patrimoine, homogène ou hybride, projection ou inter fécondation des modèles architecturaux. La francophonie porte, selon lui, la question suivante : Comment faire récit de la diversité, au lieu de penser la mondialité des villes sous le regard de la globalisation ?